Voici un GRAPHE qui permet de visualiser le contexte d’un élément du cours et de circuler de proche en proche (un outil de ce type existe pour le dictionnaire des synonymes du CNRS - très utile).
Le graphe montre les connexions entre les différents types d’éléments du cours (points = « noeuds » = « sommets ») . Même si ce n’est qu’une ébauche (seule une partie des concepts et des textes y est enregistrée) on se rend compte rapidement que les relations (flèches = liens = arêtes) sont plus nombreuses que les éléments. Les structures qui se dessinent sont donc souvent complexes et difficiles à lire. Le logiciel utilisé étant relativement basique, il faut alors jouer avec l’affichage (zoomer, déplacer l’ensemble, déplacer un noeud).
De ce fait, on doit choisir entre plusieurs manières de circuler puisque tout n’est pas compréhensible en un seul coup d’oeil.
Dans un livre comme dans toute chose, il y a des lignes d’articulation ou de segmentation, des strates, des territorialités ; mais aussi des lignes de fuite, des mouvements de déterritorialisation et de déstratification. Les vitesses comparées d’écoulement d’après ces lignes entraînent des phénomènes de retard relatif, de viscosité, ou au contraire de précipitation et de rupture. Tout cela, les lignes et les vitesses mesurables, constitue un agencement. (pp. 9-10)
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Écrire n’a rien voir avec signifier, mais avec arpenter, cartographier, même des contrées à venir. (p. 11)
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1° et 2° Principes de connexion et d’hétérogénéité : n’importe quel point d’un rhizome peut être connecté avec n’importe quel autre, et doit l’être. C’est très différent de l’arbre ou de la racine qui fixent un point, un ordre. (p. 13)
Giles Deleuze et Félix Guattari, Mille plateaux, Rhizome.
Ou encore, une CARTE STATIQUE des notions :